Mon erreur est de suivre les traces du mirage, plonger dans les abimes du temps et attendre,
Attendre que tu me fasse un signe de courage.
Courage que j'ai perdu avec des mots tendres que je lisais avec un cœur qui tremble sous l'orage de tes paroles, et je me perds dans tes fuites et tes poursuites. Tu brillais comme la lune pendant mes nuits sacrées sous la dune,
La dune de mes rêves est une colline là bas…
Devant la porte que tu ouvre sur ton univers. Ton univers plein de personnes dont je suis jaloux, tu courtisais les noms et mon nom n'est plus dans ton fond, il a fendu sous ta haine qui menchaine. Tu voulais que je parte loin de tes yeux noirs, qu'a tu gagné sinon du désespoir ?
Déspoir, si tu en savais la peine et l'ignorance de la personne qu'on aime. Qu'on aime après
une folie soudaine passant par la tête saoûle de tes ombres lointaines là bas dans le froid du
temps des absences. L'absence a pris le coeur et l'âme dans un terrible chagrin que rien ne freine sinon ton visage et le bol d'air qui sortirait de tes rouges lèvres avec de l'espoir murmurant la joie au bout de tes doigts. Tes doigt fins
Comme tes sourcils bien arqués feront mon petit bonheur sur cette vieille terre. Je prendrais ta
main parmi tant de femmes que j'aime, la tienne est bien plus fine, pour savourer la douceur de la tendresse féminine. Je m'étale
sur mes fantaisies et j'oublie ton signe de faveur comme si tu étais la mienne, écourte moi cette souffrance et donne moi tout droit ta franche réponse, car je ne comprends rien dans le langage des résonances...
Non ça c'étais hier, aujourd'hui c'est trop tard je ne veux plus aucune réponse, garde bien tes
distances, plonge comme tu voudras dans les mains de l'imprudence. Prudence est mon amie d'enfance, j'ai appris des vieux le sens de la vie et ce qui est mieux quand je suis bloqué, choqué planqué contre les portes. Les portes de l'espoir
s'ouvriront plus tard, même dans la nuit de mes retards dans la compréhension du monde, ce
monde parfois immonde ne pardonne et ne fait de cadeau aux simples esprits comme le mien,errant comme un chien dans l'obscurité de l'âme, l'âme qui bois chaque jour ses drames avec les flammes de l'incandescent cœur, un cœur qui se brise dans sa propre rancœur, comme une prison d'avoir aimé une femme comme on aimait une sœur, réveille toi de ta torpeur et
file de ce monde de mensonges et de leurres.
Elle est surement d'ailleurs, ailleurs où on connait pas la misère, elle ne t'appartient pas, laisse là vivre sa vie comme elle espère, arrête tes poursuites inutiles, elle a compris, avant toi, que c'est trop tard. Vide toi pour une dernière fois pour la rassurer que pour toi aussi c'est fini.
Chaqu'un son chemin, chacun sa route comme le disait bien le poète. Ce sera une ultime reconnaissance de l'amour qui habita un jour ton cœur...Fin du mirage, bye les outrages....
De demain, quand je retrouvrais mon roit chemin dans l'océan de la trêve;et la paix de l'âme, même avec des bouffées de flammes qui consumeraient
Le coeur, le coeur de toutes les douleurs où cohabitaient chagrin et bonheur.Bonheur et couleur arc en ciel de l'amour qui coulerait dans mes veines;je me fendrais dans l'âme de ma reine...
Ma reine au trône de mon coeur, avec une bagutte magique effacerais mes peines et mes frayeurs.....
Laisse moi, ma reine, couler dans tes veines,irriguer tes voies et vaincre ta peine rien que pour une fois.
Laisse ton âme se fondre dans mon âme pour ne faire qu’une seule flamme, ouvre grand tes bras ma femme pour contenir mes volcans et mes drames
Murmure moi les mots d’autrefois
Quand la joie était là et ton cœur qui battait contre mon cœur entre mes bras serais tu rassasié de l’amour qui faisait notre peine et notre joie.C’était de l’amour mais on ne le savait pas.Il fait beaucoup de froid, sans toi, sur mon cœur et sur ma vie sans toit.Mon premier chagrin c’est encore toi.Je suis jaloux du temps qui s’en va,il t’a pris juste d’entre mes bras,il t’emmène où il veut et où il va.
Ma princesse, ma reine donne moi tes doigts pour jouer ton refrain.Encore une fois.
Viens te joindre à mon cœur et à mon âme.Laisse nous baigner dans l’eau de nos flammes
Chaque jour qui passe je m’éteint loinde toi.......
(réponse du coeur d'une femme)
Je le sais...
mais...
Peut être..
Que j'ai peur..
de me noyer dans le Tifan de ton amour...
de me perdre dans ton immense desert..
de ne trouver que mirage..
J'ai peur...
de me bruler avec tes flammes..
que tu ne comprennes mon coeur de femme..
que tu te lasses un jour de mon charme..
que...que...que...
J'ai peur...
De la violence de ton amour..
De ce que cache ce mysterieux parcours...
De la prison de ta passion...
Du temps et ses lésions..
Que ta fougue ne sois qu'illusion..
J'ai peur..
sers moi...
rassure moi..
enlace moi..
Je te dis viens et ne pense à rien
Laisse toi perdre dans mes flammes, te brûler le coeur comme le mien viens et ne te soucie pas des drames tu ne vis qu'une seule fois ton rêve de femme. Plonge et n'aie pas peur de te noyer dans mon mirage, aie le courage de venir dans notre petit coin sauvage .Promet moi de le faire demain si tu as encore peur de tes rages. Ou fais nous un autre petit coin où nos âmes se verront demain vide est mon lot quotidien, viens le remplir avec le plaisir de tes mains, tu me tue et tu le sais bien, pourquoi préfère-tu les
mélodrames et t'éloigner de mon
charme...je te rassure mais te promets rien, on verra bien là bas dans le notre petit coin que tu nous construira mais seulement viens et ne laisse pas mon âme s'engloutir dans ton silence,
Silence que tu m'as offert depuis
Mes plaintes dernières qu'ai je fais de mal pour mériter le néant, ce géant de malheur qui frappe mes douleurs. Je t'attends, viens, que tes pas soient légères...là bas on tuera notre misère mais seulement viens...
Viens piquer quelques secondes de bonheur et vider ton coeur de tes anciennes rancoeurs oublie s'il te plait nos querelleset tes terreurs oublie mes erreurs, mes faux pas et tes peurs mais seulement viens...
Réponse...
j'avance le pas timidement...
Je te regarde tendrement...
Je veux te serrer fortement...
Ma peur disparait doucement...
Je ferme les yeux calmement..
Je pense à toi profondément..
Je me sens tellement légère...tellement..
Je me laisse emportée..
je sens mon coeur...je sens mes battements..
Tu prends ma main...tendrement...
Tu caresses mon visage affectueusement...
Tu me regardes droitement...
Tu t'approches dangeureusement...
Tu m'enlaces amoureusement...
J'ouvre les yeux soudainement...
Je sens cette douleur cruellement..
Je te cherche désespérément...
Je te veux totalement...
ma peur disparait surement..
Vivons cet amour...
infiniment..
Chantons cet hymne..inlassablement..
Rêvons de cet avenir...vivement..